Collection les vaisseaux Star Trek : l’USS Discovery

Un seul vaisseau pour cet article, mais quel vaisseau ! L’USS Discovery, vaisseau amiral de la série du même nom, vaisseau qui aura beaucoup fait parler de lui, de par son design (issu de concepts de Ralph McQuarrie, célèbre illustrateur sur la saga « Star Wars » notamment) que j’ai au départ vu comme un mix entre un vaisseau de la Fédération et un vaisseau klingon, ou son mode de propulsion (absolument révolutionnaire et ultra-rapide, et donc largement plus avancé que ce que la saga nous avait montré des vaisseaux de cette époque). Et même si j’ai trouvé ce vaisseau un peu étrange la première fois que je l’ai vu, il faut bien avouer que j’ai fini par l’adopter pour le trouver très stylé.

 

    

    

 

Effilé comme une flèche, à la fois futuriste et old-school (nettement plus qu’un Shenzou par exemple), les designers qui ont repris le travail de McQuarrie ont fait un redoutable de travail de finition, intégrant ce design très particulier à la fois dans l’époque de la série et dans notre époque à nous, pour emporter il me semble l’adhésion des spectateurs (même si on trouvera toujours nombre de réticents, notamment dans la communauté des fans hardcores, qui sont parfois… très hardcores ! 😀 ). L’USS Discovery est donc extrêmement long, presque aussi long que les modèles XL ! Du coup, une telle longueur se fait forcément au détriment de la taille des détails, puisque pour rester dans les limites du raisonnable il a fallu limiter la taille de la miniature. Ceci dit, l’essentiel est bien présent, avec un petit déflecteur, des nacelles de distorsion (loooooongues !) avec du plastique bleu translucide, des moteurs à impulsion en plastique rouge translucide, des écritures bien nettes, un jeu de peinture (fait de brun et de gris qui tranche clairement avec le reste des vaisseaux de la saga, mais cela lui donne un côté unique, ce qu’il est à bien des égards d’ailleurs) du plus bel effet, et une soucoupe originale, très « aérée », avec un dôme de commandement qui saute aux yeux.

 

    

    

 

Et forcément, Eaglemoss oblige, on trouve aussi quelques défauts. Les peintures du hublots non alignées sur la sculpture, cela n’étonne malheureusement plus personne… C’est un problème qu’Eaglemoss a décidé d’ignorer, quelle qu’en soit la raison, passons. Plus gênant, la soucoupe n’est pas parfaitement droite par rapport au corps du vaisseau, un mal qui a touché une grande quantité des acheteurs de ce vaisseau. Une technique semble fonctionner : un sèche-cheveux pour ramollir la colle et redresser la soucoupe. J’ai essayé, sans grand résultat, mais je n’ai pas trop forcé pour ne pas me retrouver avec deux morceaux de vaisseau dans les mains… A retenter ! Ceci dit, ce phénomène est flagrant sur certaines photos, mais un peu moins frappant à l’oeil. A moins que ce ne soit moi qui ne veux pas le voir… 😉

 

 

  

 

On a donc là un superbe vaisseau, à la peinture très réussie, avec un design racé comme rarement, particulièrement élancé. Des détails nombreux, sans grand accroc (si ce n’est cette soucoupe qui penche) font de lui une belle réussite. Les deux premiers vaisseaux dédiés à la collection « Discovery » (le Shenzou et celui-ci donc) sont donc les plus emblématiques de la série, le reste le sera nettement moins, mais je pense m’intéresser tout de même à quelques-uns d’entre eux, en fonction des promos. A suivre donc.

 

 

  
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